Banjul, officiellement la ville de Banjul, est la capitale de la Gambie. Banjul se trouve sur l’île Sainte-Marie (île Banjul), où le fleuve Gambie pénètre dans l’océan Atlantique. La population de la Grand Région de Banjul (GRB), qui comprend la ville de Banjul et le conseil municipal de Kanifing, dépasse largement un demi-million. L’île est reliée au continent à l’ouest et au reste de la grande région de Banjul par des ponts. Il existe également des ferries reliant Banjul au continent de l’autre côté de la rivière. C’est la capitale la moins peuplée du continent African.
Les gens ont habité la région en dehors de l’île de Banjul pendant de nombreux millénaires avant que les navigateurs portugais n’entrent dans l’embouchure du fleuve Gambie en 1455 avant d’être éjectés par des habitants hostiles. Ils sont revenus en 1456 et ont réussi à atteindre l’île James. Après l’abolition de la traite des esclaves en 1807, les Britanniques devaient trouver une alternative à l’île James, située sur la rivière, pour mieux contrôler l’accès à la rivière et appliquer la loi de l’abolition de l’esclavage.
Banjul a été créé comme un poste militaire par le capitaine Alexander Grant, qui a servi dans l’armée britannique. Il a été fondé en 1816 sous les ordres du British Colonial Office, qui avait ordonné la création d’un poste militaire pour supprimer le commerce des esclaves très actif dans la région à cette époque. Un autre objectif était de permettre aux marchands britanniques expulsés du Sénégal annexé par la France d’avoir un débouché commercial à proximité. L’île de Banjul a été choisie par le capitaine Grant pour occuper le poste de nouvel avant-poste militaire. Il a été nommé d’après le 3ème comte Bathurst, Henry Bathurst. Bientôt, la colonie de Bathurst commença à prendre de l’ampleur et devint la capitale de la Gambie, une colonie britannique à cette époque. En 1947, Bathurst était gouvernée par son propre conseil municipal. Après l’indépendance de la Gambie en 1965, Bathurst est promue au statut de ville et devient la capitale du pays. En 1973, le nom de la ville a été changé pour Banjul.
Près de 500 tonnes de déchets sont générées et collectées chaque jour dans la GRB. La plupart des déchets collectés sont acheminés vers une vaste décharge non réglementée située à Bakoteh, au cœur de la zone urbaine la plus peuplée, Serekunda. Il n’existe pas de contrôle des lixiviats ni d’évacuation des gaz d’enfouissement ; les déchets sont simplement laissés pourrir, ou non, et les communautés voisines sont continuellement exposées à la fumée toxique des déchets en flammes, même visible les images de Google Earth.
Populairement connu sous le nom de «la carrière », le dépotoir de Bakoteh est tout ce qui reste d’une ancienne l’exploitation minière. Les cratères laissés par les anciennes fouilles de pierre, couvrent maintenant les ordures d’un demi-million de personnes à Kanifing, la région la plus densément peuplée de Gambie. Il s’agit d’un site d’exploitation minière ouvert dans laquelle les déchets sont déposer sans discernement ni contrôle, ce qui a de graves répercussions sur l’environnement et une menace constante pour la santé de la population. Avec une superficie équivalente à 25 terrains de football, la décharge de Bakoteh fut un territoire périphérique, une banlieue en dehors des zones résidentielles. De nos jours, en raison de l’exode rural et de la croissance démographique rapide de la métropole, il est acculé par le centre urbain. Il est devenu un endroit désolé et extrêmement malsain dans la ville.
Pour la plupart des habitants de Kanifing, la carrière a été trop longtemps leur pire cauchemar et leurs protestations persistent, réclamant la fermeture définitive du site de décharge. Cependant, pour d’autres, cet endroit inhospitalier est devenu le dernier recours pour survivre. La situation de pauvreté des familles les plus défavorisées les a conduits à la décharge en quête d’opportunités. Des centaines de personnes errent chaque jour dans les poubelles à la recherche de tout ce qu’elles peuvent saisir ou vendre dans des friperies en échange de quelques pièces. Mais ce n’est pas une tâche facile de trouver quelque chose d’utile. Ils mettent leur vie en danger en démolissant et en brûlant des appareils électroniques pour en extraire les métaux.
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